La prostitution de nos jeunes s’amplifie davantage de nos jours. Les jeunes âgées de 15 à 17 ans sont les plus concernées, avance un journal de l’Océan Indien. Le pire c’est que ce sont des jeunes scolarisées qui s’adonnent à ce type de mésaventure. Mais en fin de compte, elles sont victimes d’une exploitation sexuelle parfois à l’insu de leurs parents.
La procédure de ces jeunes adolescents est quelque chose de banale. En effet, les réseaux sociaux en sont les premiers outils utilisés. Des groupes de dialogue sont source de prostitution des jeunes. Les prix se négocient et les rendez-vous se fixent sur ces groupes. Faut-il alors prendre des mesures pour éviter la propagation de cette nouvelle forme de prostitution ?
Quoi qu’il en soit, le vide juridique sur ce sujet demeure un problème qui laisse les parents et les autorités impuissants. Les autorités étatiques doivent ainsi voir de près ce phénomène qui peut nuire à l’harmonie de notre société. Mais dans cette optique, les autorités morales et religieuses ont leur part de responsabilité dans cette histoire.
A noter que ce genre d’exploitation favorise certainement le proxénétisme. Les réseaux mafieux et ceux qui s’adonnent aux blanchiments de capitaux peuvent facilement investir dans ce secteur. Faut-il rappeler que les pays de l’Est ont été les grandes victimes d’un tel fléau. Afin d’assurer l’avenir de nos jeunes enfants, il faut bannir ce genre de prostitution. Facilement, la dépendance à la drogue et à l’alcool s’invite à ce fléau. Alors, ces jeunes ne seront pas productifs pour notre pays dans l’avenir et au contraire ils constitueront des charges lourdes pour la Nation si la prévention n’est pas assurée. Si l’Etat investit beaucoup dans l’éducation de nos jeunes, d’autres moyens peuvent facilement détruire nos adolescents. C’est le cas de la prostitution.
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