La journée internationale des femmes et filles de sciences, une journée permettant de faire la promotion des femmes scientifiques comme le veut Ikala STEM.
Ikala STEM, club des filles et des femmes oeuvrant dans le domaine de la science a organisé samedi dernier une conférence ouverte à tout public sur la participation des filles et des femmes dans le domaine scientifique avec la collaboration de l’UNESCO et de l’Université d’Antananarivo, qui s’est tenue au Ministère de l’Education Nationale Anosy.
En effet, Ikala STEM est une association de femmes et filles volontaires dans les domaines de la Science, de la Technologie, de l’ingénierie et des mathématiques tendant à favoriser la science et l’éducation à Madagascar mais également à promouvoir le profil des femmes scientifiques malgaches. L’organisation de cet évenement s’allie à la célébration de la «journée internationale des femmes et filles de sciences». Favoriser la participation pleine et égale des femmes et des filles à l’éducation, à la formation, au marché de l’emploi et aux processus décisionnels dans les domaines scientifiques ainsi que d’éliminer toute forme de discrimination à l’égard des femmes et, surtout dans les secteurs de l’enseignement et de l’emploi sont parmi les objectifs de la célébration de cette journée internationale des filles et des femmes de science. Une séance de partage d’informations sur les activités du STEM a marquée la journée du samedi. Selon les explications du Professeur Lilia Rabeharisoa, Directeur Général de la Recherche Scientifique, l’orientation académique et professionnelle des élèves collégiens et lycéens malagasy est indispensable pour des meilleurs résultats.
Par ailleurs, un concours de dissertation ouvert à tous les lycéens et étudiants universitaires basés à Madagascar a été effectué dans le cadre de cette célébration. La conférence du samedi a permis de rappeler que les femmes et les filles jouent un rôle essentiel dans la communauté scientifique et technologique et que leur participation doit être renforcée, a-t-on appris.
Narindra R.
