L’intervention radiophonique sur la radio nationale, du président du Conseil du fampihavanana malagasy (CFM) de dimanche soir, a été interrompue sans qu’Alphonse Maka n’ait pu exposer ses arguments. Interrogé à ce sujet, il a joué la carte de l’apaisement. «J’admets que le temps passait vite, je suis intervenu trop longuement sur mes arguments sans doute… », a-t-il affirmé.
Le président du CFM était en effet intervenu pour soutenir la paix et la sérénité dans le pays. « Le CFM est favorable à tout dialogue. Toute concertation demande des préparatifs bien ordonnés et les institutions de la République doivent toujours être impliqués puisqu’elles symbolisent la légalité, pour ne citer que le parlement qui a le pouvoir de légiférer des propositions de réforme », a-t-il soutenu.
Marc A.
