Développement et sécurité : Madagascar, pays allié des Nations Unies
Le discours du Président Hery Rajaonarimampianina à la tribune des Nations Unies, de New York, a été une occasion de démontrer la solidarité de Madagascar avec les actions initiées par cette Organisation mondiale. «Madagascar apporte son soutien», a souligné le Chef de l’Etat dans le cadre des défis mondiaux qui attendent le monde dans une forme de disparité que le Président malgache a lancée dans son intervention à la 72ème Assemblée Générale des Nations Unies.
Pour ce faire, le Président Hery Rajaonarimampianina a suggéré une meilleure coordination des actions en se focalisant davantage sur les préventions. La lutte contre le terrorisme, l’encadrement des déplacements de réfugiés, le développement et la lutte contre la pauvreté, les outils, sont disponibles a réitéré le Président malagasy mais qu’il importe à présent de les utiliser à bon escient et de les améliorer davantage.
Optimisme
L’optimisme, le terme a été réitéré à trois reprises par le Président de la République malagasy dans son discours à New York. Ayant dressé un bilan de ses 4 années de mandat, il a ainsi déclaré être «optimiste» quant à une meilleure réussite et une croissance pérenne de Madagascar. Un bilan qui a fait montre des efforts concédés dans la bonne gouvernance, la lutte contre la corruption ou encore contre le changement climatique ayant ainsi permis de recouvrer la stabilité et l’apaisement dans le pays. «Pour lutter contre la pauvreté, il est impératif d’adopter une gestion responsable des ressources naturelles et de lutter contre le changement climatique», a souligné le Chef de l’Etat malagasy. A une année des prochaines échéances électorales, le Président Hery Rajaonarimampianina a martelé que la Grande Île a franchi un cap et atteint une étape de tous les espoirs tant en termes de stabilité politique que des perspectives économiques et sociales.
Le monde francophone n’a pas été laissé de côté par le Chef de l’Etat malagasy. En sa qualité de Président en exercice de la Francophonie, il a ainsi abordé la Déclaration d’Antananarivo sur la croissance partagée, laquelle est source de la stabilité dans ce monde francophone, déterminé à la réaliser pour le développement de l’humanité.
Marc A.
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