Les coups bas ont commencé
Les machinations et critiques de tout genre commencent à se faire sentir au niveau des dirigeants actuel. Cette fois, ce ne sont plus les hautes instances politiques qui sont les plus visés. Ce sont des secteurs de métiers et des ordres professionnels qui sont victimes des sensations politiques menant vers des clivages insensés ces derniers jours.
C’est le cas du monde de la presse qui est en proie à des machinations politiques visant à tacler le régime actuel. Dire que le ministère de la Communication et des Relations avec les Institutions s’immisce dans les affaires de la presse et du monde des journalistes semble incohérent. En tant qu’organe étatique, le MCRI se doit d’être appliquant des textes en vigueur. Une application des textes que certains voient de mauvais œil, surtout ceux qui ont toujours favorisé le « laisser-aller » et ceux qui défendent l’illégalité.
Non seulement le Président de la République et sa famille sont visés par des critiques malsaines et des affirmations gratuites, le Président du Sénat, les membres du gouvernement, des députés, et certains hommes politiques du régime en sont également victimes de supputations infondées. Parfois, c’est de la désinformation qui gagne de la place. Ils sont d’ailleurs victimes d’acharnement parfois mis par certaines presses en feuilleton.
A qui profitent ces machinations ? Ce sont les politiciens qui sont derrière ces actes. En tout cas, le métier de la presse tend à se ternir par ces genres de machinations insensées menant vers la ruine du corps et du métier proprement dit.
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