TICS : Le «Samsung Knox» pour protéger les données des entreprises
Le phénomène de piratage informatique et l’espionnage industriel sont à la mode de nos jours. Madagascar n’en est pas épargné . Les opérateurs et ceux qui utilisent les moyens modernes de communication sont ainsi obligés de se protéger. Samsung et Orange Madagascar peuvent leur venir en aide…
Le phénomène de piratage informatique, notamment au niveau des entreprises, est devenu légion de nos jours. Les données personnelles mais éga-lement celles de l’entreprise ne sont pas à l’abri des mauvaises mains. La sécurité est une préoccupation majeure pour les entreprises et en particulier l’environnement mobile. A ce sujet, Orange Madagascar et Samsung ont procédé à la présentation du « Samsung Knox », à l’occasion d’un séminaire organisé à l’intention des entreprises locales, hier. La séance s’est déroulée à l’hôtel Ibis d’Anko-rondrano.
Selon les précisions apportées par David Ratsimbazafy, Responsable Marché et Entreprise chez Orange Madagascar, la solution de sécurité renforcée « Samsung Knox » comprend notamment un conteneur sécu-risé de nouvelle génération qui permet d’isoler les environnements personnels et professionnels. Le « Samsung Knox » est une solution de protection des données, qui permet de garder en sécurité les informations qui pourraient être transmises via les mobiles professionnels largement diffusés en interne. David Ratsimbazafy a ajouté que la mobilité croissante des salariés et le stockage des données professionnelles sur leurs appareils personnels comptent en effet parmi les facteurs susceptibles de porter atteinte à la sécurité des données confidentielles.
Une large gamme de solutions adaptées et performantes sont ainsi mises à la disposition des entreprises afin de répondre aux besoins de mobilité et d’interactivité. Les représentants des entreprises ayant participé à cette séance de démonstration ont manifesté leur intérêt d’ado-pter cette solution de sécurisation. « Samsung Knox » devrait être disponible dans la grande île d’ici 2 mois.
L.R
