S’agit-il d’un sabotage ou de fait réel? Telle est la question que se posent les observateurs quant à ce cas, maintenant qu’on approche des élections.
Le directeur de campagne ainsi que la directrice de communication d’un candidat aux présidentielles du 7 novembre 2018 ont été convoqués pour enquête auprès de la gendarmerie de Betongolo hier, a-t-on appris de source proche du dossier. De nombreuses plaintes ont été déposées à leur encontre par une dizaine de personne. Notre source a ainsi révélé que ces 2 personnalités sont sous le coup de chefs d’accusation, notamment d’usurpation de titre.
Au terme de leur enquête, le directeur de campagne a pu rentrer auprès de sa famille, ce qui ne fut pas le cas de la directrice de communication, laquelle a été placée en garde à vue.
Le candidat concerné entend ne pas vouloir se laisser marcher sur les pieds. Il estime qu’il s’agit d’une mascarade ayant pour unique objectif de perturber sa campagne. Face à cette affaire s’apparentant à un sabotage électoral, le candidat en question a suspendu sa tournée et prévoit en conséquence de porter plainte contre ses détracteurs.
L.R
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