Le CFM, par définition, est appelé à réconcilier le peuple avec les dirigeants et tous sles politiciens entre eux à l’aide de ses propres méthodes et stratégies.
“Le Conseil du Fampihavanana Malagasy (CFM) n’est pas un bouclier de l’impunité”, d’après son président, Alphonse Maka, lors de la présentation du rapport d’activités de cette institution, hier à son siège d’Ampefiloha. Il a rappelé que la loi stipule que seules les affaires politiques sont amnistiables et demandables au niveau du CFM.
Selon ses dires, le CFM est la seule institution capable d’accorder l’amnistie. Toutes personnes déjà condamnées doivent formuler une demande d’amnistie auprès du CFM. Dès la réception de tout document relatif au demandeur, le CFM procèdera directement à l’étude du dossier. Une étude suivie de l’avis juridique de la Cour Suprême.
Alphonse Maka a réitéré que Madagascar a déjà ratifié le «Statut de Rome», ce qui explique l’absence d’amnistie accordée aux personnes qui auront commis des crimes de génocide, guerre, crime contre l’humanité, d’agression et de violation des droits de l’homme.
Rindra R.
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