BFV-Société Générale : Reboisement réussi
La banque BFV-SG ne se contente pas d’assurer des services financiers. Depuis des années, elle se verse aussi dans le social. Outre les apports de soutien qu’elle apporte à diverses activités sociales à Madagascar, la BFV-SG tient aussi à protéger l’environnement à travers ses activités annuelles de reboisement, qui allient devoir et distraction pour son personnel.
Les 12 250 jeunes plants prévus ont été mis en terre à l’occasion de la séance de reboisement de la banque BFV-Société Générale, samedi dernier, dans la commune rurale d’Ambohijanaka, district d’Antananarivo Atsimondrano.
Si 6 750 pieds ont été plantés, un regarnissage de 5 500 autres a été réalisé à Ampangabe.
En tout, 2 000 jeunes pieds d’acacias, 7750 de pins et 2500 autres d’eucalyptus ont été plantés.
Ils étaient 250 employés, dont le personnel issu de la capitale et des provinces, à se mobiliser dans cette opération de reboisement, effectuée sur une superficie de 2 hectares.
La banque n’a effectivement pas caché sa préoccupation de la dégradation galopante de l’environnement, occasionnée, en premier lieu, par la déforestation. Les terres arables diminuent de façon alarmante, à raison de 5mm par an, le cycle normal étant de 1cm par siècle. Cette action en faveur de la protection de l’environnement témoigne de la responsabilité d’entreprise du groupe Société Générale dans toutes ses dimensions.
Il s’agit, par la même occasion, d’une action citoyenne, d’un engagement environnemental que la Banque effectue chaque année, depuis 16 ans, afin de justifier sa responsabilité sociétale.
Pour le personnel de la BFV-SG, le métier de banquier, c’est avant tout un métier de confiance. Ils agissent de manière responsable et engagée, étant convaincus qu’il n’y aura pas de banque durable s’il n’y a pas de banque responsable. Les membres du personnel de la BFV-SG ambitionnent effectivement de pratiquer une finance responsable dans l’exercice de leur métier, dans la gestion des collaborateurs et dans celle des ressources pour maîtriser l’impact direct de activités humaines propres sur l’environnement et la société.
Depuis 16 années maintenant, des milliers de jeunes plants ont été plantés sur un terrain d’une superficie estimée à une vingtaine d’hectares. Une équipe spéciale est chargée d’assurer leur entretien de manière régulière.
L.R
