Banque mondiale : 546 millions USD alloués au portefeuille de tous les projets

Banque mondiale : 546 millions USD alloués au portefeuille de tous les projets

A la reprise de sa relation avec Madagascar, la Banque Mondiale revoit son portefeuille des projets financés dans le pays. Ainsi, cette institution de Bretton Woods, avec le Ministère des Finances et du Budget, ainsi que celui de l’Economie et de la Planification, consacrent deux jours d’atelier à une revue de portefeuille, atelier qui prendra fin ce jour.
Pour Madagascar, le portefeuille de la Banque Mondiale est de l’ordre de 546 millions USD, essentiellement sous forme de prêts. Sur le plan de financement de projets, le pays n’a pas encore atteint, jusqu’ici, le même niveau qu’avant 2008.
La Newsletter du Ministère des Finances et du Budget précise que cette Revue a comme objectif l’amélioration de la performance du portefeuille actuel à travers l’engagement de toutes les parties prenantes et le développement des recommandations pour une meilleure gestion et un meilleur impact des projets futurs.
La Banque Mondiale intervient principalement dans 7 secteurs de développement. La Grande île représente une capacité de gérer des portefeuilles avec un taux de proactivité de l’ordre de 100 %.
Les thèmes choisis et proposés durant l’atelier, à travers des discussions, facilitent le partage des points forts ainsi que la recherche des solutions aux problèmes rencontrés. Un plan d’action sera élaboré à l’issue de l’atelier et seront mises en évidence les actions décidées afin de renforcer davantage la mise en œuvre du portefeuille.
La newsletter, publiée en début d’année par la Banque Mondiale, précise de son côté que cet atelier vise à étudier les moyens de maximiser l’impact des programmes financés par la Banque Mondiale à Madagascar. Un tel processus implique une série d’entrevues avec les différents responsables de l’administration et d’aborder des thèmes aussi divers que la pérennité des résultats, l’amélioration du suivi-évaluation, la mise en œuvre des mécanismes de recevabilité sociale, entre autres.

C.R

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