Dih’Art : La danse qui fait du bien

La danse qui fait du bien

Le club de danse Dih’Art a trouvé la bonne alternative à une thérapie médicale. A la fois loisir, distraction, sport et détente, la danse est un moyen infaillible d’entretenir aussi bien le moral que le physique. Choisissez le style de danse que vous appréciez, le club Dih’Art fera en sorte que la discipline, sera pour vous, source de bien-être.

La danse est un sport, un loisir et elle apporte de nombreux bienfaits. Rijamanitra Randrianarisoa, fondateur du club de Danse Dih’Art, l’a confirmé hier 29 avril durant la Journée mondiale de la danse, qui a été marquée dans la grande salle du bureau du 3ème arrondissement où le club dispense des cours.
Apprendre la danse est une façon de se faire de nouveaux amis, de vaincre la timidité. Être déterminé à vouloir bien danser apprend à se fixer des objectifs que l’on atteint progressivement. C’est ainsi que les enfants qui font de la danse ont souvent de très bons résultats scolaires, a fait remarquer Rijamanitra Randrianarisoa.
La danse est également connue comme étant un anti-stress, un bon moyen d’évacuer ses soucis. Ses vertus sont nombreuses, en ce sens qu’elle procure du bien-être.
Dès son plus jeune âge, à partir de 2 ans, un enfant peut apprendre à danser, comme c’est le cas au sein du Club de danse Dih’Art. Les plus petits commencent par les danses d’éveil. Plus tard, on les initie aux études rythmiques et artistiques et ils peuvent apprendre différents types de danse allant du classique aux danses modernes.
En réalité, il n’y a pas d’âge pour danser ou pour s’initier à la danse. Même des septuagénaires peuvent prendre des cours de danse de salon et autres au sein du Club de Danse Dih’Art. Chaque année, ce Club de Danse organise un spectacle, une occasion pour les «danseurs», petits et grands, de montrer ce qu’ils ont appris durant l’année.

 C.R

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