Direction de la sécurité présidentielle : Affaire JIRAMA, enquête close

Direction de la sécurité présidentielle : Affaire JIRAMA, enquête close

Tout est bien qui finit bien. Les employés de la Jirama impliqués dans l’affaire du court-circuit survenu au domicile du président de la République ont tous été relaxés sans aucune charge contre eux…

L’enquête lancée par la Direction de la Sécurité Présidentielle (DSP) contre les employés de la Jirama, à propos de l’affaire du court- circuit survenu au domicile du Président de la République à Tsimbazaza, est close. La convocation pour audition dont ces employés ont fait l’objet a été annulée. Ils ne comparaîtront pas non plus devant le juge. Les employés de la Jirama, suspectés dans cette affaire, peuvent pousser un ouf de soulagement et reprendre leur travail en toute sérénité. La déclaration émane du mouvement des intersyndicaux de la Jirama. Selon eux, cette disposition est le fruit des multiples rencontres ayant eu lieu entre les responsables gouvernementaux et les représentants des intersyndicaux. Même si les pourparlers ont pris plus de temps que prévu, il en résulte, selon le rapport de la commission d’enquête composée de représentants des intersyndicaux, du ministère de l’Energie et de la Gendarmerie, qu’il s’agissait d’un incident purement d’ordre technique, par conséquent, les employés de la Jirama ont été lavés de tout soupçon.
Les intersyndicaux de la Jirama ont tenu à remercier les employés de la Jirama d’avoir fait montre de solidarité vis-à-vis de leurs homologues dans cette affaire. Ils ont également remercié le gouvernement pour sa compréhension. A la mi-août, le domicile du président de la République, Hery Rajaonarimampianina, sis à Tsimbazaza, a été le théâtre d’un début d’incendie. Fait qui n’a pas manqué de susciter la panique chez le Chef de l’État et sa famille. La DSP a été contraint d’ouvrir une enquête afin de déterminer les circonstances de cet incident.

    L.R

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