Sécurité routière : Une affaire de tous

L’importance de la sécurité routière a été mise en avant lors de la 13ème édition du Salon de l’Auto du 29 septembre au 2 octobre au CCI d’Ivato. « La sécurité routière est l’affaire de tous et seule une prise de conscience collective permettra de réduire les accidents », s’est exprimé Rolland Ranjatoelina, ministre des transports et de la météorologie. Une conférence axée sur la sécurité routière a été donnée par le ministère des transports et de la météorologie et la Direction générale de la sécurité routière vendredi dernier en marge de cette 13ème édition au CCI d’Ivato.
L’état des routes, les délits et infractions commis par les usagers de la route, les défaillances techniques, le non respect des distances de sécurité, l’alcool au volant, l’excès de vitesse, les surcharges en poids et les surnombres ont été cités comme sources des accidents. Les diverses situations accidentogènes ont été explicitées à travers une projection vidéo. Il en est de même des points à respecter scrupuleusement par les techniciens de la DGSR lors d’une visite technique d’un véhicule.
Les intervenants ont prodigué des conseils pour une conduite sûre et sécurisée, à savoir, le rapport entre les distances de freinage et le temps de réaction d’un conducteur, la manière d’éviter les zones d’incertitude et les zones de contraintes.
Le ministère rappelle les dangers de l’alcool au volant à travers les diverses sensibilisations et le rappel des lois et sanctions infligées à tous les conducteurs en état d’ivresse ou sous l’emprise de stupéfiant.
C.R
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Panel international sur le cacao : Madagascar, pays hôte

Madagascar va accueillir en juin 2023 le panel international sur le cacao, selon décision, la semaine dernière, de la 106ème session du Conseil de l’Organisation Internationale du Cacao (ICCO). Le lobbying intense et la présence physique à Abidjan du ministre de l’Industrie, et du Commerce, Edgard Razafindravahy ont été décisives dans le choix de Madagascar au détriment du Pérou et du Venezuela.
Le panel est un évènement majeur dans le domaine du cacao. A cette occasion, les meilleurs experts internationaux seront réunis pour évaluer les pays candidats. À l’issue des évaluations seront reconnus les meilleurs cacao fins produits dans le monde, et le quota attribué à chaque pays. Bien que Madagascar ne produise qu’un peu plus de 14.000 tonnes de cacao par an, la grande île propose un cacao de qualité d’excellence, qui n’est malheureusement pas suffisamment exploité sur le marché international. L’organisation du panel permettra d’affirmer la notoriété de Madagascar sur le cacao d’excellence et d’attirer les regards du monde entier, notamment des pays consommateurs. La qualité cacao fin, reconnue par le panel d’expert, garantira une amélioration importante du revenu des planteurs.

C.R

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Journée mondiale de l’habitat : Célébration ce jour

A l’instar d’autres pays, Madagascar célèbre chaque premier lundi du mois d’octobre la journée mondiale de l’Habitat. Pour cette année, la célébration s’articule autour du thème «Des logements décents, sûrs et abordables pour tous », selon les précisions apportées par Gérard Andriamanohisoa, secrétaire d’Etat en charge des nouvelles villes et de l’habitat. « L’accès à un logement décent est un droit fondamental consacré par la Constitution », a-t-il rappelé à cette occasion. Plus de 50% des ménages urbains sont des locataires et 75% des logements sont vulnérables, selon ses dires, tout en mettant l’accent sur le défi de l’Etat de construire 40.000 logements en 5 ans. Des stratégies sont mises en place pour faciliter l’accès au logement, pour ne citer que l’adoption de la  loi sur la promotion du logement, les ventes-locations, le projet « un titre, un logement »….
Outre les sensibilisations et stands d’exposition divers, la célébration qui se tiendra ce jour au stade Barea de Mahamasina mettra en avant les recherches et innovations en matière de construction d’habitat. Ceux qui sont intéressés par les logements sociaux ou « Trano mora » pourront également en apprendre davantage sur place.
C.R
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CHAN : Madagascar dans le groupe C

Madagascar se trouve dans le groupe C dans le cadre de la phase finale du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) pour les joueurs locaux, qui se déroulera en Algérie en janvier 2023. Madagascar aura comme adversaire dans ce groupe C le Maroc, le Soudan et le Ghana pour le premier tour. Le tirage au sort s’est déroulé à Alger, samedi.
Le groupe C est un peu relevé par la présence du Maroc, double tenant du titre et actuel champion d’Afrique. Le Ghana, déjà vainqueur du tournoi en 2009 et finaliste en 2014, est également un adversaire coriace. Le Soudan, troisième de l’édition 2018, n’est pas non plus à sous-estimer avec sa grande expérience.
Velo Ghislain
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Circulation urbaine : Les taxi-motos désormais autorisés à Antananarivo

Examiné pour la 3ème fois en conseil municipal, les taxi-motos sont désormais autorisés à opérer dans la commune urbaine d’Antananarivo (CUA). Avec 27 voix favorables, une voix contre et une abstention, le conseil municipal a validé, en session extraordinaire de vendredi, l’usage des deux-roues en matière de transport de personnes, dans la capitale.
Toutefois, les conseillers municipaux ont interdit l’utilisation des tricycles et des cyclopousses sur l’étendue de la commune urbaine d’Antananarivo.
Cette nouvelle décision a aussitôt déclenché les réactions de l’association des taxis-ville de la capitale (FTAR). D’après Clémence Raharinirina, présidente de cette association et non moins conseillère municipale, l’insertion de trois sujets ayant été rejetés lors de la dernière session ordinaire, est une violation pure et simple des décisions entérinées par les conseillers municipaux. Elle a en effet souligné que les conventions avec Okalou et avec le « palet de la reine », au même titre que les taxi-motos, avaient été rejetées au mois dernier par le conseil municipal. Par conséquent, Clémence Raharinirina entend porter l’affaire devant la justice pour marquer leur opposition à cette décision.
Les 10 points inscrits dans l’ordre du jour du conseil municipal ont tous été validés par le conseil municipal. Il s’agit, entre autres, des travaux d’entretien routier et du contrôle de conformité sur la délégation du service public du SMEV, de l’installation d’une stèle commémorative au nom de Nadine Ramaroson, de la régularisation du terrain Raharinosy, de la mise en place du terrain multisports d’Analamahitsy, ou encore de la régularisation des blocs sanitaires et infrastructures communautaires de la capitale.

Marc A.

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Agression contre les albinos à Madagascar : Les recommandations de l’experte de l’ONU

Fin de la visite officielle à Madagascar de l’experte de l’ONU sur la jouissance des droits de l’homme par les personnes d’albinisme, Muluka-Anne Miti-Drummond. Elle a fait part de ses observations préliminaires, à Andraharo hier, au cours d’une rencontre avec la presse. «J’ai été informée de deux seules condamnations sur l’ensemble des 11 affaires d’enlèvement d’albinos enregistrées auprès de la police et des 33 autres enregistrées auprès de la gendarmerie », a-t-elle déploré. Elle demande que les procédures régulières soient respectées et que les affaires touchant les personnes atteintes d’albinisme fassent l’objet d’enquêtes appropriées afin de faciliter l’identification et la poursuite des agresseurs. «Il faut communiquer les résultats des procès aux victimes et à leurs familles, ainsi qu’au grand public, car cela peut contribuer à éviter la justice populaire », a-t-elle insisté.
L’experte est également préoccupée par la capacité de la police et de la gendarmerie à mener des enquêtes sur ces affaires de manière efficace. Si les autorités locales ont déclaré disposer de compétences et de capacités suffisantes en matière d’expertises médico-légales, d’autres ont souligné que l’absence de base de données d’empreintes digitales, de laboratoires d’analyses médico-légales et de médecins légistes qualifiés constituent un obstacle majeur. L’experte estime par ailleurs que l’absence d’enquête dans les règles de l’art entrave la possibilité d’engager des poursuites effectives. «Dans quelques cas qui ont fait l’objet de poursuites, des charges insuffisantes et des sanctions très clémentes ont été appliquées. Les cas qui m’ont été rapportés concernaient des poursuites pour enlèvement avec des peines allant de 15 mois avec sursis à 30 mois d’emprisonnement au maximum. De telles peines ne reflètent pas la gravité des agressions sur les personnes atteintes d’albinisme », s’insurge-t-elle, tout en notant que les pics des agressions contre les personnes atteintes d’albinisme se sont produits au cours de ces trois dernières années. En raison de ces agressions, les personnes atteintes d’albinisme vivent constamment dans la terreur, et continuent d’être victimes de stigmatisation et de discrimination.
Mme Muluka-Anne Miti-Drummond a toutefois souligné les initiatives positives du le gouvernement malgache et des partenaires, notamment la mise en place d’un comité technique sur l’albinisme. Ce comité est un groupe multisectoriel qui étudie la possibilité d’élaborer une politique nationale sur les personnes handicapées. Parmi ses recommandations, figurent le soutien des travaux dudit comité technique ainsi que l’inclusion et la participation des albinos dans l’élaboration et la mise en œuvre du plan d’action national sur l’albinisme et garantir les ressources nécessaires à la réalisation de leurs travaux et recommandations. Il en est de même du soutien au travail d’analyse de la situation des personnes atteintes d’albinisme qui contribuera à la mise en place des actions concrètes nécessaires pour améliorer la vie de ces personnes.
Enfin, l’experte estime qu’il est indispensable de disposer de données et de statistiques fiables sur les personnes atteintes d’albinisme pour permettre de formuler les politiques pour permettre d’évaluer le soutien dont ces personnes auraient besoin pour relever les différents défis auxquelles elles sont confrontées.

C.R

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Election 2023 : Quel financement de l’UE ?

Le financement direct du processus électoral n’est pas encore programmé, a soutenu hier SEMme Isabelle Delattre, ambassadeur de l’Union Européenne à Madagascar à l’issue de sa visite au président de la commission électorale nationale indépendante (CENI) à Alarobia. L’éventualité d’un appui financier dépendra de la mise en place du « basket-fund », comme lors des présidentielles de 2018.
En revanche, quelques lignes peuvent être soutenues par l’Union Européenne même si cela reste pour le moment en phase de gestation. D’après SEMme Isabelle Delattre, la redevabilité sera au centre du programme à mettre en œuvre en matière d’appui au processus électoral. Elle concerne principalement l’éducation civique des électeurs sous l’égide de la société civile.
Arsène Dama Andrianarisedo, président de la CENI, a pour sa part annoncé la volonté de l’UE à contribuer aux efforts de la commission électorale en envoyant des observateurs électoraux, sur requête du gouvernement malgache. L’ambassadrice de l’UE a par ailleurs fait savoir qu’en cas de demande de la CENI, Bruxelles pourrait songer à un audit du logiciel et du fichier électoral. L’UE attend néanmoins des précisions des acteurs politiques et de la société civile sur la refonte du registre électoral ainsi que sur les réponses de la commission à leur égard.
Le financement des campagnes, l’origine des fonds de campagne ainsi que les difficultés de la CENI à mener à bien sa mission ont été abordés durant ce premier entretien entre les deux personnaliés.
Marc A.
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Plan-cadre de coopération des Nations-Unies : Réunion du comité de pilotage

 Le comité de pilotage conjoint du plan-cadre de coopération des Nations-Unies pour le développement durable (UNSDCF) s’est réuni vendredi à Anosy. Ce plan-cadre constitue un engagement en faveur de l’émergence de Madagascar,  de  l’atteinte des objectifs de développement durable, et de la reconstruction post-covid-19, du redressement après la crise alimentaire, énergétique et financière amplifiée par la guerre en Ukraine, de l’urgence climatique globale et des catastrophes déclenchées à Madagascar par les risques naturels.
En sa qualité de co-présidente de ce comité de pilotage, la ministre malgache de l’économie et des finances Rindra Hasimbelo Rabariniriarison a réaffirmé l’engagement du gouvernement dans la mise en œuvre de l’UNSDCF. Elle a souligné combien les interventions des agences des Nations Unies sont un soutien inestimable pour Madagascar dans sa lutte contre la pauvreté. «Je saisis cette occasion pour témoigner une fois de plus, à l’égard du Système des Nations Unies, notre reconnaissance pour tous ses appuis, marquant la conviction et l’espoir partagé de cette lutte contre la pauvreté, pour ne laisser personne de côté ».
Le Coordonnateur résident des Nations Unies, Issa Sanogo, pour sa part, a réitéré l’engagement des Nations Unies à favoriser la participation transparente et inclusive de toutes les parties prenantes, à la mise en œuvre de la programmation du développement des Nations Unies et à faire preuve de redevabilité et de responsabilité envers les parties prenantes. La contribution du SNU Madagascar, dans ce plan-cadre, consiste à renforcer et à mieux cibler ses actions de coopération, selon les avantages comparatifs, pour rendre la société malgache plus résiliente et plus inclusive. Il s’agit d’un véritable plaidoyer pour répondre aux besoins de la population.
CR
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Education : Un enfant battu à mort par sa mère

Un garçon de 9 ans frappé violemment par sa propre mère a succombé aux châtiments corporels. La famille réside à Maroalakely, un village de Manakara. Selon les témoignages des voisins, l’enfant a été grondé par sa mère pour n’avoir pas trouvé les réponses exactes à ses devoirs de maison. La femme avait alors exprimé sa colère en frappant l’enfant à la tête. L’enfant se serait alors plaint de maux de tête persistants durant tout l’après-midi de mercredi.
S’étant rendu compte que l’état de santé de son enfant se dégradait, la mère de famille l’a emmené chez un médecin. L’enfant est décédé quelques heures après son arrivée à l’hôpital. L’autopsie a révélé une forte commotion cérébrale.
Profitant d’un moment d’inattention de l’équipe médicale, la mère indigne s’est enfuie. Elle fait l’objet d’un avis de recherche.
Ce mortel incident survient alors que le cabinet COEF Ressources, représentant du réseau Afrobaromètre à Madagascar, a relancé les débats sur les châtiments corporels suite à un sondage effectué en début de semaine. La question du sondage portait sur «le châtiment corporel sur les enfants est-il toujours justifié, parfois justifié ou jamais justifié?». Il ressort que 32% des Malgaches estiment que le châtiment corporel sur les enfants est toujours justifié. 50% estiment, en revanche, que la discipline par la force est parfois justifiée, tandis que 18% pensent que le fait que les parents punissent leurs enfants par la force n’est jamais justifié.

L.R

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Consommation de tortue de mer : Un mort et 22 personnes intoxiquées

Un enfant âgé de 5 ans est décédé et 22 autres personnes ont été hospitalisées suite à une intoxication alimentaire de masse survenue dans le fokontany de Vahilava, secteur Atsako, du district d’Antsiranana II. Les victimes avaient consommé de la viande de tortue de mer, ramenée à terre par des pêcheurs mardi dernier. Les premiers symptômes sont apparus dès le lendemain : vomissements, maux de tête et dégradation progressive de leur état de santé.
Une délégation de la direction régionale du ministère de la pêche et de l’économie bleue s’est rendue sur place, accompagnée d’une équipe médicale qui a aussitôt prodigué les premiers soins aux malades. Avec le concours de la gendarmerie, les patients ont été évacués d’urgence vers l’hôpital d’Antsiranana, à 80km du village. En tout, 47 personnes dont 11 enfants ont été auscultées. Ceux qui n’ont pas présenté pas de signes graves sont restés dans le village.

L.R

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Conjoncture politique : Le parti Leader Fanilo revendique une meilleure éthique politique et une décentralisation réelle

Le parti Leader Fanilo a donné une conférence de presse jeudi à Antaninarenina pour présenter ses orientations après sa réunification. Les nouveaux dirigeants du comité transitoire du parti (KVM/LF) ont ainsi défini la position du parti dans le contexte politique actuel. Ses deux co-présidents, le Pr Antoine Rabesa Zafera et le commandant Alphonse Toto ont ainsi détaillé en 4 points les desideratas du parti pour parvenir à relever les défis de la nation.
Une meilleure pratique politique, à travers le respect de l’éthique, a été soulevée par le parti Leader Fanilo. « Nous avons la conviction qu’en privilégiant l’éthique, on parviendra à améliorer les conditions de vie de la population et à rétablir la confiance entre gouvernants et gouvernés », a souligné le Pr Antoine Rabesa Zafera lors de cette conférence de presse. « Cette éthique se doit d’être la capacité et la volonté de savoir distinguer ce que tout le monde s’accorde à considérer comme vrai ou faux, légal ou l’illégal, juste ou injuste », a-t-il insisté.
En ce qui concerne la décentralisation, le parti Leader Fanilo demeure attaché au principe de désengorgement des pouvoirs, jusqu’ici centralisés entre les mains de l’Etat. De l’avis de ce parti, la répartition des pouvoirs entre les 23 régions avec un développement équilibré s’avèrent incontournables pour s’assurer de l’expansion économique du pays.
En ce qui concerne la bonne gouvernance, le co-président du Leader Fanilo a insisté sur sa mise en application, en coordination avec l’instauration d’une éthique politique et le respect de la démocratie afin d’assurer la bonne marche de notre société et de la République. « La transparence, la lutte contre la corruption, l’Etat de droit ainsi que la confiance du peuple, seront rétablis si la gestion des affaires publiques suit la bonne voie ».
Le 4ème point abordé par le parti Leader Fanilo est le système éducatif malgache. Un système qui doit être égal pour tous les citoyens afin que les futures générations puissent œuvrer ensemble et de manière optimale au développement de la nation. Cette conférence de presse a été l’occasion pour le parti d’appeler au bannissement du népotisme et du clientélisme des postes à responsabilité et à l’instauration d’une politique de la méritocratie et d’alignement des compétences.
Interrogés sur la participation du parti dans le régime en place, les co-présidents du Leader Fanilo ont souligné qu’aucun membre du parti n’est actuellement dans aucune institution de la République. Ils ont cependant rappelé que « le parti avait régulièrement des représentants dans les institutions des précédents régimes, de celui d’Albert Zafy à celui de Hery Rajaonarimampianina,  en passant par le régime Ratsiraka, et de la transition de 2009. Le dernier représentant en date a été Jean-Max Rakotomamonjy qui avait été président de l’assemblée nationale du régime Rajaonarimampianina».
Marc A. 
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