Sommet de la Francophonie : C’est bien parti

Sommet de la Francophonie : C’est bien parti

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Les doutes se sont envolés. La Secrétaire Générale de l’OIF est à Madagascar pour superviser les travaux effectués et assurer le camp mlgache du soutien international que le pays va recevoir en organisant le sommet.

“Un grand pas vient d’être franchi dans la préparation du XVIème sommet de la Francophonie de novembre prochain, pour lequel Antananarivo sera la ville hôte “. Ces propos sont de Hugues Ratsiferana, président du Comité d’organisation du Sommet, hier, en marge de la cérémonie d’inauguration du siège de la Francophonie à Antaninarenina. Une manière pour le responsable de faire savoir le bon déroulement des préparatifs de cet événement d’envergure internationale. Hugues Ratsiferana n’a pas caché son optimisme quant aux retombées de ce Sommet en rappelant que « tous les regards du monde seront braqués sur Madagascar durant cet événement ».  Le Comité d’Organisation du XVIème sommet de la Francophonie a eu un emploi du temps bien chargé hier.
Dès son arrivée en terre malgache, Michaëlle Jean, Secrétaire Générale de l’OIF, a été reçue par le ministre des Affaires étrangères Béatrice Atallah dans son bureau d’Anosy. D’emblée, le ton est donné. L’entretien entre ces deux personnalités s’est déroulé dans une ambiance très amicale. Il a été caractérisé par une remise de présent du MAE malgache au SG de la Francophonie, en guise de souvenir. Madame Michaëlle Jean a, par la suite, été reçue par le Président de la République au palais d’Etat d’Iavoloha.
Dans l’après-midi, la SG de l’OIF a inauguré le « Zoma de la Francophonie » à Andohalo, un événement qui se veut être une vitrine de l’authenticité locale en mettant en relief la culture et l’artisanat malgaches. La séance a été clôturée par une visite des stands.
Mais le clou de cette journée fut sans aucun doute l’inauguration officielle du Bureau Régional de la Francophonie à Antaninarenina, toujours par la SG de la Francophonie, Michaëlle Jean. Une occasion pour notre invitée de marque de faire honneur aux potentialités de la Grande île. D’après elle, « Madagascar est trop riche pour être qualifié de pays pauvre. Il importe seulement de mobiliser ses richesses au profit de toute sa population».

L.R

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